Hvem daterede Madame de Pompadour?

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Madame de Pompadour

Madame de Pompadour

Jeanne Antoinette Poisson, Marquise de Pompadour (, French: [pɔ̃paduʁ] ; 29 December 1721 – 15 April 1764), commonly known as Madame de Pompadour, was a member of the French court. She was the official chief mistress of King Louis XV from 1745 to 1751, and remained influential as court favourite until her death.

Pompadour took charge of the king's schedule and was a valued aide and advisor, despite her frail health and many political enemies. She secured titles of nobility for herself and her relatives, and built a network of clients and supporters. She was particularly careful not to alienate the popular Queen, Marie Leszczyńska. On 8 February 1756, the Marquise de Pompadour was named as the thirteenth lady-in-waiting to the queen, a position considered the most prestigious at the court, which accorded her with honors.

Pompadour was a major patron of architecture and decorative arts, especially porcelain. She was a patron of the philosophes of the Enlightenment, including Voltaire.

Hostile critics at the time generally tarred her as a malevolent political influence, but historians are more favorable, emphasizing her successes as a patron of the arts and a champion of French pride. Modern historians suggest that the critics of Pompadour were driven by fears over the overturning of the existing hierarchies that Pompadour's power and influence represented, as a woman who was not born into the aristocracy.

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Ludvig 15. af Frankrig

Ludvig 15. af Frankrig

Louis XV, dit « le Bien-Aimé », né le à Versailles et mort le dans la même ville, est un roi de France et de Navarre. Membre de la maison de Bourbon, il règne sur le royaume de France du à sa mort. Il est le seul roi de France à naître et mourir au château de Versailles.

S'il est surnommé le « Bien-Aimé » en début de règne, l'appréciation du peuple évolue par la suite. À la fin de son règne, il reste aimé dans la plupart des régions de France mais est très impopulaire à Paris, à tel point que sa mort donne lieu à des fêtes joyeuses dans la capitale.

Orphelin à l'âge de deux ans, duc d'Anjou puis dauphin de France du au , il succède à son arrière-grand-père Louis XIV à l'âge de cinq ans. La régence est exercée par le duc d'Orléans qui doit faire casser le testament de son oncle Louis XIV pour s'imposer, en contrepartie de l'octroi du droit de remontrance au Parlement. Ce droit affaiblit le règne de Louis XV.

Sacré en , ce dernier maintient le duc d'Orléans comme premier ministre jusqu'à sa mort, l'année suivante. Le duc de Bourbon lui succède de à , puis c'est son ancien précepteur, le cardinal de Fleury de à , sous le gouvernement duquel la France prospère et s'agrandit des duchés de Lorraine et de Bar. Sur le plan administratif, la gestion des finances est renforcée. La volonté de faire de la bulle Unigenitus une loi d'État conduit à la confrontation avec les parlements très imprégnés de jansénisme.

À la mort du ministre Fleury, en , Louis XV gouverne seul. Unique survivant de la famille royale à proprement parler (il est le seul arrière-petit-fils de Louis XIV vivant en France), marié à la fille d'un roi de Pologne détrôné, Louis XV est isolé à la tête de l'État, intelligent mais très secret. L'absolutisme de droit divin fait face, d'une part, à l'opposition des parlements qui affirment, à la suite de Le Paige, que leur corps a une ancienneté et, partant, une autorité égale, voire supérieure à celle du roi : en , leur force se manifeste lorsqu'ils obtiennent l'expulsion des ⁣⁣jésuites⁣⁣ de France, alors qu'un parti dévot et aristocratique souhaite contrôler davantage la monarchie.

Pour diriger l'État, Louis XV s'appuie sur quelques secrétaires d'État et ministres, quelques Conseils ainsi qu'un nombre restreint de hauts fonctionnaires, dont le plus important est Choiseul. Cette machinerie administrative est renforcée par la création des premières grandes écoles masculines d'État (École royale de la Marine du Havre, École nationale des ponts et chaussées, École royale du génie de Mézières). Elle relègue la noblesse traditionnelle et les corps locaux, ce qui coupe la monarchie de ses relais traditionnels, dans une France que transforme aussi l'administration économique, sous l'influence de la physiocratie naissante. L'aristocratie et une partie du clergé sont donc nostalgiques d'une monarchie d'équilibre, tempérée par des corps intermédiaires et une morale chrétienne (conforme aux écrits de Fénelon qui ont une grande influence y compris sur le roi lors des traités de paix). Dans la société urbaine, la philosophie des Lumières conteste également son absolutisme tout en s'opposant à l'emprise de l'Église.

Progressivement, l'image du souverain se désacralise et sa gestion de l'État est contestée.

Sur un plan religieux et moral, n'étant pas philosophiquement un libertin, le roi se sent coupable de ses infidélités conjugales. Sous la pression du clan des dévots, manifeste lors de l'épisode de Metz, il finit par ne plus communier, ni pratiquer les rituels thaumaturgiques des rois de France, ce qui entraîne la désacralisation de la fonction royale et une rupture avec son fils, le dauphin.

De plus, sur le plan diplomatique, le royaume voit sa situation, excellente en début de règne, s'affaiblir, ce qui entraîne un coût militaire et fiscal important. D'abord attaché à la paix appuyée sur un pacte de famille (une Europe des Bourbon), le roi doit faire face à la montée de la Prusse de Frédéric II et à celle de la Russie qui s’affirment comme des puissances européennes, face à une Autriche qui doit lutter pour conserver sa place. Enfin, la Grande-Bretagne où le roi abandonne l'idée de restaurer les Stuart catholiques devient une puissance maritime et coloniale rivale de la France, ce qui pousse son chancelier Choiseul à préparer une guerre à laquelle il répugne.

Cela vaut au royaume d'être impliqué dans deux conflits majeurs : la guerre de Succession d'Autriche qui est militairement bien conduite mais ne débouche sur aucun gain diplomatique, et la coûteuse guerre de Sept Ans. Le royaume aide parfois la République de Gênes pour contrer les rebelles durant la Guerre d'indépendance corse. Les engagements ont lieu dans les Pays Bas, en Allemagne ou sur mer. Sur les océans, l’Angleterre déploie une flotte alors sans égale qui soutient sa politique vigoureuse d’expansion outre-mer. La France connaît quelques succès militaires sur le continent européen et parvient à conquérir la Corse. En revanche, elle perd le contrôle d'une grande partie de son empire colonial (Nouvelle-France en Amérique, Indes).

Le roi doit alors faire face aux remontrances fiscales des parlements, qu'il finit par briser en en les faisant réformer par son chancelier Maupeou. Cette opposition et celle d’une partie de la noblesse de la cour, sa relation avec Madame de Pompadour, puis l'hostilité du nouveau dauphin envers sa dernière maîtresse Madame du Barry, sa difficulté à se faire valoir à une époque où l’opinion publique (essentiellement alors parisienne) commence à compter, ses hésitations entre fermeté et laisser-faire, qui donnent lieu à des changements de stratégie brusques finissent par le rendre très impopulaire. Sa mort — de la variole — provoque des festivités dans Paris, comme il y en avait eu à la mort de Louis XIV.

Sous une apparente stabilité, son règne est celui d'une mutation silencieuse. Les arts sont florissants, notamment la peinture, la sculpture, la musique et les arts décoratifs. L'architecture française atteint un de ses sommets, tandis que les arts décoratifs (meubles, sculptures, céramiques, tapisserie, etc.) appréciés, tant en France que dans les Cours européennes, connaissent une forte expansion. Mais, c'est surtout en philosophie et en politique que les mutations des Lumières s'affirment et entraînent de profonds changements à partir de .

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